Recette très facile pour un lait de coco comme vous n’en avez jamais dégusté : tout cru, vegan, maison … et divin !
Vous saurez tout sur les merveilleuses propriétés de la noix de coco en lisant cet article.
Contrairement à l’eau de coco, avec laquelle il ne faut pas le confondre, le lait de coco est issu de la noix de coco mature.
Traditionnellement, on le réalise à partir de sa chair, que l’on râpe en la mélangeant avec de l’eau, puis on presse et on filtre. Nous allons faire la même chose, en utilisant des robots, mais c’est la seule différence.
Le lait de coco est très riche; il n’est en rien comparable aux autres laits végétaux, dont je vous parle ici.
Il n’est pas à boire tel quel. Sa richesse le rend davantage comparable à de la crème liquide ; bien sûr, son utilisation reine est dans les curries indiens, sri lankais, pakistanais, également dans la cuisine Thaïlandaise …
En réalisant le lait vous-mêmes, vos plats seront encore plus savoureux et infiniment plus nutritifs que si vous utilisez une conserve.
Je vous conseille de le faire un peu avant de cuisiner votre plat, cela n’ajoutera alors pas au temps de la recette.
La recette est très simple, il vous faut simplement disposer d’un blender haute vitesse.
Recette pour environ 80 cl de lait de coco vegan tout cru :
250 g de chair de coco fraîche mûre épluchée
750 g d’eau
- Passer le tout au blender et filtrer au tamis.
- Pour un lait encore meilleur : ne pas filtrer au tamis, mais passer la chair mixée et mélangée à l’eau à l‘extracteur de jus : le lait aura encore plus de goût, sera encore plus riche en saveur et en nutriments. C’est un peu plus long bien sûr, mais si vous avez le courage, je vous le conseille.
- Réserver l’okara dans une boîte au congélateur pour un usage ultérieur, ou le faire déshydrater à 40°, et le conserver dans un bocal fermé.
- Conserver dans une bouteille fermée au frigo.
Astuce : comment récupérer rapidement la chair de coco
1. Vous achetez (ou cueillez ) une noix de coco mature (pas verte, celle dont on boit l’eau), à coque brune donc.
2. Vous percez un œil avec une petite perceuse, vous récupérez l’eau en la filtrant.
3. Vous prenez un marteau (nous, on le fait dans l’herbe, dehors) et vous cassez la noix en tapant dessus, tout simplement.
C’est souvent mon fils qui se charge de ces opérations s’il traîne dans les parages à ce moment !
4. La noix est en plusieurs morceaux, parfois déjà détachés tout seuls de la coque ; pour ceux qui ont encore de la coque autour, un couteau à huître pour faire levier, et cela s’en va quasiment tout seul.
5. C’est fini. Nul besoin d’éplucher la petite peau brune.
Bonjour , merci pour vos réponses précédentes détaillées.
J’ai dans le passé tenté de faire du lait de coco avec de la noix de coco , j’ai abandonnée car il est difficile de détacher facilement la chair de noix de coco de la coque de noix coco elle même, c ‘etait laborieux . Avez vous une technique qui simplifie l ‘opération ?
Autre question est ce nécessaire de l’éplucher car au blendeur la peau brune qui accompagne la chair devrait être mixé comme la chair ?
merci
Je vous en prie Laure ?
Je vous assure que c’est vraiment très rapide à faire ; pourtant, je ne suis pas particulièrement douée pour ce genre de trucs ?
1. Vous achetez (ou cueillez ?) une noix de coco MATURE (pas verte, celle dont on boit l’eau), à coque brune donc.
2. Vous percez un œil avec une petite perceuse, vous récupérez l’eau en la filtrant.
3. Vous prenez un marteau (nous, on le fait dans l’herbe, dehors) et vous cassez la noix en tapant dessus, tout simplement.
C’est souvent mon fils qui se charge de ces opérations s’il traîne dans les parages à ce moment !
4. La noix est en plusieurs morceaux, parfois déjà détachés tout seuls de la coque ; pour ceux qui ont encore de la coque autour, un couteau à huître pour faire levier, et cela s’en va quasiment tout seul.
5. C’est fini. Nul besoin d’éplucher la petite peau brune.